Une journée qui nous paraissait facile et qui pourtant va être un peu dur à cause d’un vent de face qui va bien nous gêner dans les quarante derniers km. Ce matin au réveil la chaîne de montagne est toute éclairée par le soleil levant…
de la vaste salle de séjour de la maison de Els, les sommets enneigés forment un très beau contraste avec la plaine et les arbres verts.
de la vaste salle de séjour de la maison de Els, les sommets enneigés forment un très beau contraste avec la plaine et les arbres verts.
Els va nous ramener sur la route principale, nous évitant ainsi une vingtaine de km sur des chemins pas très confortables. Dans la première trentaine de km nous sommes sur la route au milieu de la vaste vallée.
La route descend assez rapidement dans un paysage d’alpage. Au bout d’une descente rapide qui nous amène vers 1.900 m nous rejoignons l’Arkansas que nous avions traversé à Wichita. Ici c’est un grand torrent qui coule dans des gorges très jolies.
Le vent s’est donc mis de la partie et nous freine beaucoup. La route remonte la vallée pas de longs faux plats. Un trafic assez important de voitures et de camions nous forcent à être vigilant car il n’y a pas de « shoulder », ces bandes d’arrêt d’urgence qui nous servent de bande cyclable.
Dominique crève encore une fois, apparemment c’est un minuscule fil de fer qui a pénétré son pneu. On répare rapidement puis un peu plus loin nous rencontrons deux américains, le père et le fils qui sont de Portland. Le fils fait une sortie avec son père de quelques jours, mais le père lui se rend dans le Maine.
La route descend assez rapidement dans un paysage d’alpage. Au bout d’une descente rapide qui nous amène vers 1.900 m nous rejoignons l’Arkansas que nous avions traversé à Wichita. Ici c’est un grand torrent qui coule dans des gorges très jolies.
Le vent s’est donc mis de la partie et nous freine beaucoup. La route remonte la vallée pas de longs faux plats. Un trafic assez important de voitures et de camions nous forcent à être vigilant car il n’y a pas de « shoulder », ces bandes d’arrêt d’urgence qui nous servent de bande cyclable.
Dominique crève encore une fois, apparemment c’est un minuscule fil de fer qui a pénétré son pneu. On répare rapidement puis un peu plus loin nous rencontrons deux américains, le père et le fils qui sont de Portland. Le fils fait une sortie avec son père de quelques jours, mais le père lui se rend dans le Maine.
Ajouter une légende |
On est bien content d’arriver à Salida, petite ville dont le downtown est bien sympathique. Il est assez tôt et nous allons faire une petite sieste dans un espace vert de la ville.
Ce soir nous sommes attendus chez Harry et Myra qui habitent une très belle maison au-dessus de la vallée. Pour y arriver il y a une côte d’un km qui monte vraiment très dur…
Harry et Myra sont des cyclistes expérimentés. Harry a fait deux fois Paris-Brest-Paris (1.200 km)…ils sont très heureux de nous accueillir et ont invité à diner des amis à eux.
Nous passons encore une fois une très belle soirée à parler vélo, voyage, tour de France, choix sur nos itinéraires des prochains jours…avec la difficulté qu’on se retrouve à ne plus trop savoir quoi prendre comme option ! on verra demain on doit monter un col qui culmine à 3.400 m de quoi bien occuper les jambes !
Nous passons encore une fois une très belle soirée à parler vélo, voyage, tour de France, choix sur nos itinéraires des prochains jours…avec la difficulté qu’on se retrouve à ne plus trop savoir quoi prendre comme option ! on verra demain on doit monter un col qui culmine à 3.400 m de quoi bien occuper les jambes !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire